Médaillée d’or lors des derniers Championnats d’Europe de Sotchi en 2021 au côté de Candy Brière, Manon Morançais et Lucie Tumoine, la Rennaise Maëlle Dumitru-Marin rêve de récidiver à Rimini (Italie). Tout en performant aussi en individuel.
J‑1 avant le début des Championnats d’Europe de tumbling ! Ce mercredi, place aux qualifications de l’épreuve par équipe avec la présence de la Bretonne Maëlle Dumitru-Marin. Sacrée championne du monde en novembre dernier avec ses coéquipières de l’équipe de France, elle espère bien en faire de même en Italie. Histoire aussi de conserver un titre européen déjà glané en 2021. Alors, à l’aube de cette nouvelle compétition, Maëlle s’est confiée sur son ambition. Extraits.
Comment tes coéquipières et toi vous sentez-vous à la veille du début de la compétition ?
Je me sens prête, même s’il faudra voir le jour J. Je sais qu’on est attendu parce qu’on est championne d’Europe en titre et c’est un peu stressant. J’ai vu que les Anglaises avaient un gros niveau et que ça va être compliqué de remporter une nouvelle fois l’Or. Avec mes coéquipières on veut juste faire de notre mieux et on verra bien ce qu’il en sera. Forcément il y a de la pression, mais on sait de quoi on est capable.
Comment vous êtes-vous préparées ?
C’était une préparation d’un mois après les sélections. Il y a eu plusieurs répétitions des enchaînements que l’on devra faire durant la compétition. Ce fut une préparation normale qui s’est bien déroulée.
Quelles sont vos ambitions ?
On souhaite conserver notre titre, mais ça ne sera pas facile. Maintenant, on veut réaliser notre meilleure série possible afin de ne rien regretter. On doit d’abord passer la phase de qualification, qui a lieu mercredi, en espérant terminer dans les cinq premiers pour participer à la finale de vendredi.
Et au niveau personnel, tu as aussi beaucoup d’ambition…
Maintenant, je vais disputer ma première compétition internationale en individuel et j’espère me qualifier pour la finale qui aura lieu dimanche. Il y a seulement huit places sachant que durant la dernière édition, je ne m’étais pas qualifiée malgré ma huitième place. Le règlement stipule que les nations ne peuvent avoir que deux places pour la finale, or j’avais terminé troisième Française. J’aimerais bien me qualifier, mais je n’aurais pas de regrets si c’est l’une de mes coéquipières qui participe à la finale à ma place.