Le RC Vannes se déplaçait ce vendredi soir à Oyonnax pour disputer la 20e journée de Pro D2. Au terme d’une rencontre peu intense, les Bretons se sont inclinés face aux leaders du Championnat (7–26). Voici 3 choses à retenir de cette rencontre.
Les Vannetais dominés dans le premier acte
D’entrée, les joueurs de Jean-Noël Spitzer ont subi la domination oyonnaxienne et n’ont pas tardé à être sanctionnés (0–3, 9e). Bien que la formation vannetaise ait bataillé en défense pendant de longues minutes, les locaux se sont montrés plus incisifs pour aller aplatir le premier ballon de la rencontre derrière l’en but adverse (0–10, 25e). Alors que tout prêtait à croire que la soirée allait être longue pour nos Bretons, Rudy Paige s’est empressé de répondre en offrant à son tour le premier essai de la partie pour son équipe (7–10, 29e). L’équipe morbihannaise regagnait les vestiaires avec neuf points de retard au tableau d’affichage (7–16, 40e).
Le RC Vannes subit la loi d’Oyonnax
En seconde période, les visiteurs sont parvenus à dompter les Oyonnaxiens dont la domination s’est faite bien moins flagrante. Mais face à une défense adverse très solide, la précipitation et le manque de précision ont empêché nos Vannetais de nourrir des espoirs de victoire dans cette rencontre. En témoigne l’en avant morbihannais à quelques mètres de la ligne d’en-but à 9 minutes du terme. Bien que moins percutants, les joueurs d’Oyonnax sont parvenus à enfoncer le clou grâce à la pénalité de Jules Soulan et l’essai Gabiriele Lovobalavu en fin de partie (7–26, 78e).
Deuxième défaite consécutive
Après leur lourde défaite face à Agen la semaine passée, les joueurs du RC Vannes ont concédé une seconde défaite consécutive ce vendredi. Mais après cette partie, difficile d’en vouloir aux Morbihannais qui se sont heurtés à une équipe très solide défensivement et efficace offensivement. Le RCV a livré une belle bataille, mais quitte la pelouse sur un score sévère (7–26). Christopher Hilsenbeck et les siens sont rétrogradés à la 10e place et conservent 7 points d’avance sur le premier relégable, Rouen.