Après une saison terminée à la 8e place et une élimination en quarts de finale des play-offs en Ligue B, Quentin Marion, l’entraineur du REC, a accepté de se confier sur son avenir. Extraits.
Quentin, est-ce que l’année prochaine vous serez encore à la tête du REC ?
J’étais en fin de contrat, mais on est en discussions avancées pour un nouveau contrat de deux ans. À 99%, je serai entraineur du REC la saison prochaine.
Quels renforts attendez-vous ?
Il devrait y avoir pas mal de changement même s’il y a des réalités économiques à prendre en compte. On va avoir du mal à repartir sur une équipe 100% française, mais pour l’instant il n’y a rien de vraiment officiel. On veut essayer « d’avantager » les joueurs français même si on n’est pas fermé à prendre trois ou quatre étrangers. Moi en tant qu’entraineur je ne veux pas d’une équipe avec six étrangers sur le terrain, mais ça ne veut pas dire qu’on doit n’en avoir aucun.
Vous êtes séduit par le projet du REC ?
Le projet du REC m’intéresse, je le trouve très ambitieux. On est un club qui se (re)construit petit à petit même si en tant qu’entraineur j’ai l’impression qu’on ne va pas assez vite, mais ça ne va jamais assez vite (rires). Ça évolue de manière positive, notamment sur la deuxième partie de saison et je pense qu’on apprend beaucoup plus dans la difficulté. Le manager général m’a fait venir et me fait confiance, puis j’ai un staff avec lequel j’adore travailler donc c’est bien. On doit encore avoir des évolutions et j’espère qu’on parviendra à les décrocher dès la saison prochaine.