Ce samedi après-midi, pour le compte de la 9e journée de Ligue 1, le Stade Rennais n’a fait qu’une bouchée de Strasbourg (3–1). Voici ce qu’il faut retenir de ce succès convaincant des Bretons portés par un Arnaud Kalimuendo XXL.
Un but refusé pour Strasbourg suivi de l’expulsion de Nyamsi
Un match de football ne tient souvent à pas grand-chose et ça a encore une fois été le cas ce samedi. Strasbourg a cru ouvrir le score grâce à Kévin Gameiro peu après le quart d’heure de jeu (18e minute), mais l’ancien Merlu était en position de hors-jeu. Un premier avertissement sans frais donc pour les Rennais qui ont vu leur adversaire être rapidement réduit à 10. C’est justement l’ancien bretillien, Nyamsi, qui a été expulsé pour une grosse semelle sur Bourigeaud (28e).
L’attaque rennaise se régale, Kalimuendo intenable
Et 1 et 2 et 3–0 ! Rennes a fait la différence en à peine une demi-heure. Arnaud Kalimuendo a d’abord inscrit son premier but sous le maillot rennais après un centre de Truffert (1–0, 38e). Les hommes de Bruno Génésio ont ensuite doublé la mise à la 49e minute grâce à Martin Terrier sur une belle passe d’Arnaud Kalimuendo (2–0, 49e). Et peu après l’heure de jeu, c’est Amine Gouiri qui a lui aussi été de son but encore une fois sur une passe de… Kalimuendo. Le trio offensif breton a régalé ce samedi et les recrues de l’été ont brillé !
Le Stade Rennais a touché deux fois les montants
Vainqueurs 3–1 de cette rencontre à Strasbourg, le SRFC aurait pu s’offrir un succès encore plus large avec plus de réussite. En effet, Terrier a trouvé la transversale de Sels juste avant la pause (46e), tandis que Flavien Tait a lui vu son tir être repoussé par le poteau en deuxième période (56e). Strasbourg peut donc s’estimer plutôt heureux de n’avoir encaissé « que » trois buts lors de cette rencontre.
Hamari Traoré fautif dans sa surface
Le latéral droit et capitaine Rouge et Noir a concédé un penalty après une faute évitable sur Kévin Gameiro. Strasbourg a alors pu en profiter pour réduire la marque puisque Habib Diallo a transformé l’offrande (3–1, 73e). Ce but restera malgré tout anecdotique dans un match quasiment à sens unique.